Pain de ce jour

page de couverture du recueil Pain de ce jour

Pain de ce jour: brève présentation

Connaissez-vous Pain de ce jour ? Il s’agit d’un petit cahier qui propose une pensée biblique pour chaque jour. Ces lectures quotidiennes de la Bible suivent la liste proposée par la Communauté de travail œcuménique pour la lecture de la Bible (Allemagne). Elle permet de parcourir une fois l’Ancien Testament et deux fois le Nouveau Testament en huit ans. Dans notre blog, nous vous avons présenté lire la Bible en 6 ans. Ici, c’est en huit ans! Si vous êtes pressés de lire la Bible plus vite (si si, c’est possible), mieux vaut faire l’acquisition d’une Bible d’étude.

Concrètement, comment cela marche?

Rien de plus simple ! Vous disposez en effet de deux possibilités pour accéder aux ressources de Pain de ce jour : suivre le commentaire quotidien en ligne, publié par l’Église réformée évangélique du Canton de Vaud (Suisse). C’est gratuit et vous pouvez naviguer en avant ou en arrière. Lire les pensées déjà publiées et découvrir les suivantes. Vous pouvez aussi vous abonner à la revue trimestrielle, directement auprès de l’éditeur.

Pour vous donner un avant-goût de Pain de ce jour

Voici la pensée publiée le 5 août 2024: Faire face à notre sentiment d’impuissance (Marc 9,14-29). Nous devons ce commentaire et le choix de la prière qui suit à Karin Phildius, pasteure de l’Église réformée évangélique du Canton de Neuchâtel (Suisse).

Descendre de la montagne, revenir au quotidien après un temps de retrait ou de vacances, c’est souvent un choc… Les situations douloureuses, les demandes de toutes sortes, les mauvaises nouvelles nous «sautent» à la figure, et nous nous sentons si souvent tellement impuissants…

Que faire?

Déjà, reconnaître que souvent, nous n’y pouvons rien, que nous sommes démunis, voire désemparés. Avouer franchement que nous sommes incapables d’espérer ou de croire et que souvent, nous oscillons entrent foi et doute. Oser alors dire comme le père de l’enfant: Seigneur, je crois, viens au secours de mon manque de foi. Et surtout ne rien faire dans la précipitation pour sauver les autres ou nous sauver nous-mêmes! Avec humilité et courage, remettons la situation entre les mains de Dieu, il agira au-delà de toute espérance!

Et une prière, pour terminer

Dieu qui ouvres mon nom, sur ma pauvreté d’aujourd’hui, sur ma tiédeur et ma peur, je découpe une parole pour dire: je crois! Je crois qu’en Jésus, le Fils de ta tendresse, tu donnes à chaque être son visage d’humanité, c’est pourquoi toute rencontre a sa promesse. Il s’agit d’un extrait d’une prière de Francine Carrillo, publiée dans Traces Vives.

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